Affaire Mouhamet Dieng : Des erreurs manifestes dans le rapport de la Cour des comptes

Affaire Mouhamet Dieng : Des erreurs manifestes dans le rapport de la Cour des comptes

Economie

Ces derniers jours, le nom de Mouhamad Dieng a été cité dans un rapport de la CENTIF, l’institution sénégalaise chargée de traquer les flux financiers suspects. L’homme d’affaires, fondateur de Mir Holding, se retrouve au centre d’accusations de blanchiment et de fraude fiscale. Pourtant, derrière ces soupçons brandis, se dessine une tout autre réalité : celle d’un entrepreneur visionnaire qui a bâti un véritable écosystème d’entreprises et dont les opérations, loin d’être illicites, traduisent une modernité dans la gestion des affaires.

Des erreurs manifestes dans le rapport

L’analyse attentive du rapport de la CENTIF fait apparaître plusieurs zones d’ombre :
- Les flux financiers jugés suspects ne sont rien d’autre que des avances de marchés publics ou des règlements avec des partenaires étrangers bien identifiés.
- Les sociétés qualifiées de “structures écrans” correspondent en réalité aux différentes composantes d’un holding dûment structuré.

L’absence d’éléments probants

Au-delà des insinuations, aucun fait matériel ne vient appuyer ces accusations. Pas de preuve d’origine illicite des fonds, pas de contrats fictifs, pas de fausses factures. Les notions de “fraude fiscale” ou de “blanchiment” évoquées relèvent davantage de l’interprétation que de la démonstration.
En effet, contrairement à l’image d’un circuit opaque dressée par le rapport, les sociétés de Mouhamad Dieng obéissent à une logique claire : un holding regroupant plusieurs entités actives dans le BTP, les services et les investissements financiers. Mir holding, et d’autres structures associées ne sont pas des écrans, mais les piliers complémentaires d’un groupe parfaitement connu des autorités fiscales et bancaires.

Des flux financiers légitimes

Les montants évoqués, qui peuvent sembler impressionnants pour le grand public, ne sont en réalité que le reflet d’activités économiques d’envergure. Recevoir des avances de la LONASE, régler des partenaires internationaux, relèvent du fonctionnement d'une holding.

Des investissements assumés et conformes à la loi

Les acquisitions immobilières citées dans le rapport , que ce soit les terrains, les immeubles et autres, ne sont pas des biens occultes. Elles ont été réalisées au grand jour, avec des titres fonciers réguliers et dans le respect scrupuleux des procédures notariales. Assimiler ces opérations à des manœuvres de blanchiment relève donc d’un dangereux amalgame, qui témoigne d’une méconnaissance du fonctionnement d’un holding de la part de la CENTIF.

Un parcours qui force le respect

Au-delà des soupçons et des rumeurs, le parcours de Mouhamad Dieng mérite d’être lu pour ce qu’il est : celui d’un enfant de Guédiawaye qui, grâce à la rigueur, à la vision et au travail, s’est hissé au rang d’entrepreneur international. Diplômé de l’Université d’État de Géodésie et de Cartographie de Moscou, il a mis ses compétences au service de projets structurants, avant de bâtir son propre empire économique.

Mais sa réussite ne se limite pas aux affaires : elle se vit aussi à travers son engagement social. À travers la Fondation Mouhamad Rassoul Dieng, il a multiplié les initiatives solidaires : distribution de kits scolaires et alimentaires, rénovation de mosquées, daaras et églises, soutien à des familles en détresse. Son geste le plus marquant reste la prise en charge complète de l’opération chirurgicale des jumelles siamoises transférées en Italie, pour un coût avoisinant les trois millions d’euros, soit près de 2 milliards de Fcfa. Là où d’autres parlent, lui agit.

Plutôt qu’un scandale, l’histoire de Mouhamad Dieng illustre l’émergence d’une génération d’entrepreneurs sénégalais audacieux, connectés au monde mais enracinés dans leurs valeurs. En diversifiant ses activités, en collaborant avec des partenaires internationaux, en investissant dans l’immobilier et la finance, il incarne une volonté : bâtir des champions nationaux et réduire la dépendance économique.

Les accusations relayées à son encontre traduisent donc bien plus une tentative de freiner l’ascension d’un entrepreneur ambitieux qu’une réalité judiciaire. En l’absence de preuves solides, Mouhamed Dieng reste ce qu’il a toujours été : un bâtisseur d’avenir, un patriote qui a choisi d’investir son énergie et ses moyens au Sénégal !!!

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